C’est devant un parterre des journalistes que le Président de la Fédération congolaise de football Association a tenu à lancer ce grand projet de rêve pour tout un peuple. Celui d’amener les Léopards Football à leur deuxième participation en coupe du monde après la première en 1974 en Allemagne. C’était un « Constant » Omari de grand jour, conciliateur et rassembleur autour des valeurs citoyennes nationales et sportives.

« EN ROUTE POUR LE MUNDIAL »
Le concept tend à ramener le Congo du foot vers un rassemblement sous le drapeau, à taire nos divergences pour l’intérêt supérieur de la nation et à tirer le football congolais dans les firmaments du foot africain en premier lieu et du football mondial en second lieu.

Le Président refuse de minorer les ambitions sportives nationales et ne veut pas se contentant de la position actuelle et mot d’ordre a été donné aux encadreurs du foot, particulièrement à l’encadrement des Léopards A à pouvoir travailler dans le sens de tirer vers le haut cette sélection qui est du reste est au jour d’aujourd’hui envahie par la légion étrangère des binationaux au regard des progrès entrepris par la Fédération et la coordination des équipes nationales qui tendent à améliorer le cadre et l’atmosphère de préparation des matches.   A coup sûr dans les prochaines échéances, les footeux congolais découvriront de nouvelles têtes dans la sélection et non des moindres.

« UN APPEL DE PIED SOUS LE DRAPEAU »
Aucun secteur de la vie nationale n’a été oublié : sportif, social et politique. Un timeline soigneusement concocté par le Secrétariat général de la Fédération sera dévoilé dans les tous prochains jours pour faire du Président de la Fecofa, un véritable « ambassadeur » national du foot. Tel un visionnaire, il a déjà le regard vers Russie 2018 et compte échanger de vive voix avec les politiques pour diapasonner les vues et les visions au regard des engagements des uns et des autres.

Il compte aussi transposer son nouveau béguin envers Russie 2018 à tous ceux qui exercent le métier du foot. Le monde du business et des finances ne sera pas épargné et dans cet élan jusqu’aux mamans maraichères.

« LA PRESSE, UN PARTENAIRE IMPORTANT »
Constant Omari a dit ouvertement à la presse  que l’heure n’est plus aux communautés d’intérêt. Ce qui nous unit est plus fort que ce qui nous divise. Et ce qui nous unit, c’est cette envie de voir le drapeau de la République démocratique du Congo flotter dans le ciel russe en 2018.

Abandonner l’auto-flagellation, cette conception de vie qui porte à croire que c’est mieux ailleurs qu’ici au pays. Travailler sur les points communs tout en tenant compte de nos différences, un véritable « Common ground »