INVITE D’HONNEUR DE SAMUEL ETO’O
Le Président Constant Omari séjourne à Antalya et libre de tout mouvement…

On s’est inquiété quelque peu sur la situation conflictuelle qui a prévalu ces dernières heures en Turquie, à la suite du putsh d’une partie de l’armée qui s’est mutinée dans la tentative d’un coup d’Etat en Turquie. Car, le Président de la Fédération congolaise de football association (FECOFA), monsieur Constant Omari Selemani, y séjourne, plus précisément dans la ville de Antalya, en qualité d’invité d’Honneur du célébrissime international camérounais, Samuel Etoo’o. Celui-ci organise en effet, à Antalya, un match de gala de charité dans la cadre de sa Fondation qui finance des projets en faveur des enfants défavorisés et vulnérables à travers le monde, plus précisément en Afrique.

Reconnaissant au patron du football congolais, Constant Omari Selemani, les vertus et les hautes valeurs d’une véritable réussite managériale depuis son avènement à la tête du football national assorties d’une fulgurente ascension dans la haute sphère directionnelle continentale et mondiale en assumant d’importantes responsabilités, Samuel Etoo’o qui n’a jamais été loin des réalités footballistiques d’Afrique et du monde, ne pouvait penser mieux que d’associer ce grand manager africain du football à ce grand événement sportif qui draîne pas mal de grandes personnalités du monde, de tout acabit.

VRIBRANT DEMENTI.- Point n’est besoin de souligner, une fois de plus, que la présence du président de la FECOFA à cette manifestation sportive à caractère humanitaire, justifie davantage, de la responsabilité sociale du football que prône la Confédération africaine de football (CAF) et la Fédération internationale de football association (FIFA) ou siège du reste, aux premiers rôles, le Congolais Constant Omari Selemani. Une vraie fierté nationale et continentale !

Cela conforte également, le cinglant démenti aux folles rumeurs et spéculations au pays, fruit de l’imagination macchiavélique de certains prophètes des malheurs qui distillaient ci et là, de fausses informations relatives à une soi-disante arrestation du président de la FECOFA à la suite de la fameuse affaire judiciaire des deux mandats d’arrêts internationaux lancés à l’encontre de Diallo et Omari.

Comme on peut s’en rendre à l’évidence, Constant Omari Selemani est libre de tout mouvement et circule normalement. Il n’a que faire des demêlées de Justice de la Fédération béninoise de football (FBF). Encore moins, des élucubrations et surtout de l’excès de zèle d’un jeune magistrat béninois, le juge Issoudine Ibrahim, en quête de quelque triste notoriété internationale, une véritable folie des grandeurs pour des gens qui ne veulent que salir leurs contemporains, aussi gratuitement à l’instar des personnalités de la trempe du Président de la Fédération congolaise de football association (FECOFA), Constant Omari Selemani.

Pour le jeune magistrat béninois, le juge Issoudine Ibrahim, c’était aussi pour faire plaisir à ses amitiés avec quelques membres de la FBF qui n’étaient pas en odeur de sainteté avec ceux, de la liste commune des élus du 10 juin 2016 avec Anjorin Moucharafou comme président. C’était d’ailleurs à la suite d’une décision prise par Fifa lorsqu’elle avait suspendu la fédération béninoise de toutes compétitions internationales. Une suspensionqui était assortie de la condition sine qua non d’organiser les élections et procéder à un audit des anciens gestionnaires de la FBF devait être envoyé à la Fifa parce que les frondeurs qui avaient géré la fédération n’avaient pas pu justifier les fonds que la Fifa avait mis à leur disposition. Il y a eu plusieurs démarches et suite à la pression de la rue et du gouvernement, le juge habilité de la Fifa a dû prendre un acte de rétractation et le 10 juin, les élections devraient être organisées au Bénin. L’assemblée générale a eu lieu. C’était une élection par liste et il n’y avait qu’une seule liste, victoireuse au finish. Et, la FIFA avait reconnu ce nouveau bureau de la Fédération béninoise de football. En fait, cela n’est qu’une affaire de dysfonctionnement de l’Exécutif fédéral béninois qui n’engage en rien aussi bien la CAF que la FIFA mais, qui ne concerne qu’un conflit entre des individus au sein de la Fédération béninoise qu’on a voulu gauchement internationaliser.

Le jeune magistrat béninois, le juge Issoudine Ibrahim et ses amis n’y ont pas trouvé leur compte. Facile à comprendre l’acharnement du sieur Issoudine et cie. Aux dernières nouvelles, le juge Issoudine Ibrahim s’est retrouvé dans ses petits souliers, la queue entre les pattes. Car, monsieur Joseph Djogbènou, ministre béninois de la Justice et Garde des sceaux, a intimé l’ordre au procureur d’annuler tous ces mandats d’arrêt.

CARTE DE VISITE RICHEMENT GARNIE.- Oui ! Il existe effectivement une catégorie des gens qui s’ingénient à salir vainement leurs contemporains à l’instar du jeune magistrat béninois, le juge Issoudine Ibrahim, qui s’en est gratuitement pris aux personnalités de la trempe du Président de la Fédération congolaise de football association (FECOFA), Constant Omari Selemani dont la carte de visite est de plus garnie dans le monde du football à tous les niveaux. Constant Omari Selemani charrie une riche expertise de Président de la commission «Task Force» de la Fédération internationale de football association (Fifa) chargée de lutter contre le racisme et la discrimination dans le football.

Nomination intervenue un certain vendredi 25 septembre 2015 au cours des deux journées de réunions qui se sont tenues à Zurich (Suisse) par le Comité exécutif de l’organe faitier du football mondial. On sai aussi que, Constant Omari, est également membre du Comité exécutif de la Fifa et de la Caf jusqu’en 2017. Il siège au comité exécutif de la Fifa depuis avril 2015. A ce poste, il  avait remplacé Jeef Webb, ancien président de la Confédération du football d’Amérique du Nord, d’Amérique centrale et des Caraïbes (CONCACAF) arrêté à Zurich le 27 mai 2015 et placé en détention. Il était soupçonné par la justice américaine de faits de corruption, de racket, d’escroquerie et de blanchiment d’argent.

Le Congolais Constant Omari a également été aussi membre de la commission des réformes de la Fifa. C’est la Confédération africaine de football (CAF) qui,l’a désigné avec l’Egyptien Hany Abo Rida pour participer à la commission des réformes de la Fédération internationale de football association (FIFA). Cette commission des réformes de la Fifa avait été dirigée par le Suisse François Carrard, ancien directeur général du Comité international olympique de 1989 à 2003, qui avait  pour objectif de proposer des mesures destinées à “restaurer l’intégrité et la réputation” de la Fifa, entachée ces dernières années par des scandales de corruption.

Les premières réformes proposées par cette Commission François Carrard avient été présentées les 24 et 25 septembre 2015 lors des sessions du Comité exécutif de la FIFA. Les propositions finales ont été soumises au vote en marge des élections pour la présidence de la FIFA du 26 février 2016 lors du congrès de cette instance du football à Zurich. Ledit Comité François Carrard était composé du Sheikh Ahmad, Kevan Gosper (AFC), Alasdair Bell, Gianni Infantino (UEFA), Hani Abo, Constant Omari Selemani (CAF), Samir Gandhi, Victor Montagliani (CONCACAF), Sarai Bareman, Mai Chen (OFC), Wilmar Valdez, DrGorkaVillar (CONMEBOL) et deux autres représentants désignés par la Fifa.

Signalons enfin que le président de la FECOFA, Constant Omari Selemani, en sus de ses fonction au sein du Comité exécutif de la CAF, se retrouve également dans quatre Commissions  permanentes aux titres et qualités ci-dessous : Président de la Commission pour la gestion du système d’octroi des licences des clubs/CAF; Vice-président de la commission d’organisation du championnat d’Afrique U20; membre de la Commission d’organisation des compétitions interclubs et aussi membre de la Commission d’organisation de la CAN.

DES COMPATRIOTES AUSSI.- Tout comme comme le président de la FECOFA, Constant Omari Selemani qui, en sus de ses fonction au sein du Comité exécutif de la CAF et de la FIFA, se retrouve également dans quatre Commissions  permanentes avec cinq autres Congolais, en l’occurrence, Moïse Katumbi Chapwe, Roger-Bobo Bondembe Bokanianga, Jean- Didier Masamba Malunga et Roland- Modeste Nzil’a Fanan’Amik, qui prestent également au sein d’autres Commissions permanentes de la Confédération Africaine de Football (CAF) pour le cycle 2015-2017. Le président du TP Mazembe, Moïse Katumbi, est membre de la commission d’organisation de la Can ; le 2ème Vice-président de la FECOFA, Jean-Didier Masamba  Malunga, membre à la commission d’audit ; le 4ème  Vice-président de la FECOFA, Roger-Bobo Bondembe Bokanianga, membre de la commission des affaires juridiques et ; le journaliste Roland- Modeste Nzil’a Fanan dans la commission des médias. Ces cinq congolais occupent ces postes depuis mai 2013 jusqu’en 2017.